Rester coi, coite. Syn. bouchebéer. — Depuis le trottoir, elle avait à peine eu le temps d’apercevoir les deux véhicules qui se précipitaient l’un vers l’autre. Le choc fut si violent qu’à l’arrivée des secours, elle coyait encore.
3 commentaires sur “COIRE“
David
Verbe qui opportune grave. Mais attention : problème de conjugaison. Généralement, les verbes en “oire”, font en général leur participé en “u”. Exemples : j’ai cru, j’ai bu, cette femme a été crue et ce verre bu. Or nous sommes en présence d’un participe passé en “oi” : il est resté coi, elle est resté coite. Du coup, l’infinitif doit prendre une autre forme, mais laquelle ?
Manu
Pour troisièmegroupoir, il faut parfois savoir jeter un voile pudique et s’en remettre au régime de l’exception. Sinon, “coiter”, qu’un simple tréma distingue.
David
J’en coite d’incompétence crasse. Allons pour coire.
David
Verbe qui opportune grave. Mais attention : problème de conjugaison. Généralement, les verbes en “oire”, font en général leur participé en “u”. Exemples : j’ai cru, j’ai bu, cette femme a été crue et ce verre bu. Or nous sommes en présence d’un participe passé en “oi” : il est resté coi, elle est resté coite. Du coup, l’infinitif doit prendre une autre forme, mais laquelle ?
Manu
Pour troisièmegroupoir, il faut parfois savoir jeter un voile pudique et s’en remettre au régime de l’exception. Sinon, “coiter”, qu’un simple tréma distingue.
David
J’en coite d’incompétence crasse. Allons pour coire.