Se prendre pour qui on aimerait être, ne fût-ce qu’un instant. — Il pseudoyait sous le nom de son frère, se prenant ainsi pour l’avocat des causes littéraires perdues.
Se prendre pour qui on aimerait être, ne fût-ce qu’un instant. — Il pseudoyait sous le nom de son frère, se prenant ainsi pour l’avocat des causes littéraires perdues.
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Ce qui fait « il a pseudu ? »
« Pseudoter » sourcecoulait agréablement.